La galère, c’est …
La plume qui crie, Keith Sam
La galère, c’est …
Le langage en sobriquet de l’école de la vie pour les uns et pour les autres c’est chemin de la mort, à chacun son mot.
Ce mot « galère », heureusement a trouvé sa place dans le dictionnaire et c’est depuis l’école primaire par la prise de conscience que l’on a su ce que c’est, mais au niveau de la prononciation seulement. Sa compréhension nous rattrape à cet âge d’adulte et on est témoin oculaire de ses effets.
La galère s’est invitée dans les vies des plusieurs, chacun a sa saison et ces traces ont pu laisser des casses mais aussi des forces, on ne se plaint pas trop.
C’est pendant la galère que certaines personnes perdent les faux amis et les autres gagnent une pomme des mains des vrais potes, une porte qui s’ouvre en laissant partir les uns et entrer des autres, uhm, ouais c’est la vie.
La galère nous a appris à nommer les moments qu’on traverse ; soit en séquences soit en chapitres, la peur dans tout ceci, c’est que les conséquences pourraient être néfastes, si négatives, disons aussi bénéfiques, si positives. On garde les deux choix. Surement, ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, dit-on.
Si la galère pouvait être une forgerie, chaque coup de marteau nous donnerait une forme, et donc là, on serait persuadé d’y sortir transformé, si non le contraire c’est la déformation, tout dépend du choix fait par le forgeron.
Si la galère était une école, et donc l’assimilation de chaque leçon apprise serait un gain pour le future proche ; s’il faut donc nouer la théorie à la pratique,
C’est que toute galère ne signifie pas forcément la rue, non mais quelque fois oui,
La nature dans son orgueil depuis l’ancien temps a maintenu certains de nos amis sur le banc de touche en attente que leur tour arrive et qui n’arrivera presque plus, c’est là où les faibles accusent la mégestion du pays, pourtant ils sont appelés à se gérer seuls, la vie quant à ce, nous a proposé plusieurs plans, du coup se plaindre c’est de la lâcheté.
La galère c’est comme un miroir au lendemain qui a besoin de la reconnaissance, soit la gratitude venant de cette personne qu’on reflète, car si ça a été médiocre hier, reconnaissons que ça va un peu mieux aujourd’hui !
Comme aux champs de bataille, plusieurs héros sont tombés en galérant, un aller sans retour, même les plus grands combattants ne sont plus rentrés, la lutte c’était de mettre seulement du pain sur la table , les autres ont survécu mais sont rentrés mains vides, plus loin les autres se sont vu essuyer les larmes et leurs gains constituant une arme pour aider et soutenir les autres.
Seulement la lutte continue, ne baissons jamais les bras…qui sait ce que demain nous réserve ? …
Les écrits sont les mimiques de l’âme, c’est pourquoi en me lisant, tu vas comprendre à quel niveau je crie, si non ce chapitre je ne l’appelle pas “GALÈRE “ au sens propre mais “L’ECOLE DE LA VIE ” au sens figuré.
Oui, à chaque sacrifice sa couronne.
Merci galère pour ton humiliation mais aussi pour ton élévation, tes pleurs oui mais aussi tes rires, tes tristesses mais aussi tes gentillesses, tes faiblesses mais aussi tes forces. De toute façon, on n’a pas été complétement perdant, soit on a été instruit, soit on a gagné.
Chapeau bas à tous ces héros, qui ont perdu la vie en quête d’une meilleure vie pour leur famille « REPOSEZ-VOUS EN PAIX »
Honneurs à ceux-là qui luttent encore sans rancune ; espérant aux meilleurs et joyeux d’abord des bénédictions des autres.
Tu sais la galère c’est comme dans l’équipe du football, seul le coach à l’image de Dieu sait à quelle heure t’introduire sur terrain. Qui sait ? Peut-être que c’est toi qui portes aux pieds le but de la victoire …
Comprendre la galère, je pense que l’essentiel, c’est de choisir être acteurs et non observateurs, joueurs et non spectateurs, car les prix a gagné seront différents, on ne galère pas mais on applique les saintes écritures :
Mathieu 7. 7. « Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira . » , Mathieu 7:19. « Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. »et Mathieu 13 : 7. « Une autre partie tomba parmi les épines : les épines montèrent, et l'étouffèrent . »
Bonne chance à ceux qui ont compris que le gain est dans les mouvements, la galère nous forge à sa manière. Merci 🙏🏽
Signé Keith Sam, Papa Ours, la plume que crie !
