Silence peint en mots !
“Dans le silence et la solitude, on n’entend plus que l’essentiel.” _ De Camille Belguise / Echos du silence.
Une nuance à la fois absurde et du tâtonnement à long terme pour ne pas dire essai-erreur sur ce parcours. Oui , le chemin de l’école nous a été imposé, un parcours obligatoire mais pas accessible à tous, non plus une garantie de la réussite; par contre une astuce très indispensable, car dit t- on une connaissance est une lumière de plus.
Face à un plan multi-sectoriel, nos passages dans les écoles de luxe ou universités des riches plus réputées , soit institutions prestigieuses et je n’en sais quoi ne font pas de nous meilleurs que les autres, même le contraire ne fait pas des nous des bredouilles à la con.
Je crois que non, parce que les écoles de soi-disant pauvres, elles nous ont juste appris les notions de base et le plus génial, c'est de savoir tenir un stylo et accoucher son nom sur son ardoise, c'est déjà un bon départ.
Ce cercle, dit-on, école (université) qui n’arrive pas à trouver un parallélisme entre la théorie et la pratique, l’apprenant et l’enseignant, ce sont des données qui nous ont laissés perplexes jusqu’à maintenant ; car les réalités de la vie nous ont fait savoir que les talents l’ont toujours emporté sur l’intelligence intellectuelle hormis la chance et le hasard. C’est inhabituel que les dons nagent dans l’échec, c’est pour cela que les self-made-men n’ont pas des gros diplômes mais des grosses sommes, ils appellent cela « grâce ».
Dans un environnement purement divergent, tu ne trouveras jamais un mythomane sans un titre académique ou quelqu’un qui n’avait pas fait les études avancer, non ! Sa compensation à la médiocrité c’est d’être vantard essayant de couvrir ses zones d’ombres. Pourtant, ceux-là qui ont su ce que la nature leur avait imposés ont pris conscience et maintenant ils travaillent beaucoup sur comment transformer et transférer la connaissance dans un compte en banque. Ils ont quitté le banc de l’école, il y a de cela très longtemps.
Est-il vrai que les perceptions sont-elles différentes pour ceux-là qui ont investi plus dans les études et qui en jouissent actuellement. Qu’en est-il de ceux-là qui n’ont pas trouvé les portes ouvertes après leurs études, je crois que non les perceptions ne sont pas les mêmes, car pour certains, le moment de galère a pris plus de temps que prévu et la faute n’est accordée à personne jusque-là, les sans instruction (illettrés) ont accepté les faits sans remords et se sont battus pour être là où ils sont maintenant, grâce à Dieu. Le pouvoir du changement personnel a été accordé à chacun de nous dès la naissance.
Dès le départ, on a la capacité à définir qui l’on veut devenir réellement, cette méthodologie rate souvent lorsqu’on ne sait pas s’en servir et que l’on pense pouvoir abandonner tout à Dieu, pensant que le ciel pourra descendre pour faire tout à notre place, non !
Au fait, il y a eu beaucoup d’obstacles qui vont avec, c’est pourquoi certains motivateurs nous disent de ne plus abandonner lorsqu'on se décide de faire quelque chose; ce qui n’est pas toujours été une garantie ; même une foi amorphe reste stérile parce que sans actions continues, cela paraît un éternel recommencement et rien ne se produira.
Il faut donc que, chaque réussite reste dans les normes et sous la loi, c’est ainsi que les 10 commandements (cfr la bible) restent tout un résumé en quelques mots et toutes les histoires de la vraie vie s’y trouvent. En fin, les réalités de la vie ont accordé obligatoirement à chacun de nous une place et même lui faire porter une casquette différente de sa volonté, au point qu'actuellement tout ce que nous cherchons et recherchons tous, c’est la survie, que ce soit les riches ou les fauchés, notre seul point commun, c’est le petit souffle de vie qui reste et demeure une grande richesse à protéger plus que tout et la bonne santé compte plus que n'importe quelle fortune, les leçons apprises et tirés du COVID-19 en diront plus.
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Rien qu'en 2022, la RDC a signalé un total de 6 995 décès maternels, et le taux de mortalité maternelle a été estimé à 547 pour 100 000 naissances vivantes en 2020. @Unicef RDC.