• 01 Apr, 2025
La peur demasquée !

La peur demasquée !

La situation à Goma, ne laisse personne indiffèrente. Même ceux qui font semblant d'être sereins sont trahis par leur propos ou leur regard qui dégage la peur, cette peur se démasque peu importe les efforts pour la cacher, la peur pour nos enfants, la peur pour nos êtres chers, la peur ...

Un peu de lumière, ...

Un peu de lumière, ...

Goma et environs : la population est toujours en état de panique. Certains déplacés situés dans les camps se sont encore déplacés vers d'autres quartiers pour se mettre à l'abri. Sans eau, sans l'électricité, une catastrophe sanitaire se prépare, ...

Jeunesse, mais quelle jeunesse !

Jeunesse, mais quelle jeunesse !

Ô jeunesse ! jeunesse ! tu ne t’inquiètes de rien ; tu sembles posséder tous les trésors du monde, la tristesse même te berce, même la mélancolie te sied, tu as l’assurance et l’insolence. - Ivan Tourgueniev / Premier Amour.

Le parcours vital du jeune homme !

Le parcours vital du jeune homme !

Patrick Kahamba, au travers ces quelques vers, s'inspire de son expérience pour parler du parcours d'un enfant de Goma. Le jeune homme dont il parle dans ce poème fait référence à lui-même, qui vit actuellement à Kinshasa, où il poursuit les études d'ingénierie.

S’éteindre sans avisé, Goma pleure encore !

S’éteindre sans avisé, Goma pleure encore !

Depuis le début de la crise à l'est de la RDC, la population reste positive, confiante ; les jours passent, la situation s'empire sur tous les aspects ; pourtant, la foi reste. L'espoir fane, la foi perd son éclat à force d'être sans fruits ; c'est peut-être ce que Sam appelle dans son poème : "une foi embellie mais vide", embelli par des promesses, des beaux discours mais sans action

L'espoir, au-delà de tout espoir

L'espoir, au-delà de tout espoir

Il y a un an, j'ai écrit ce texte alors que j'étais sur le site de déplacés à Kanyaruchinya, aujourd'hui encore, avec les combats qui s'intensifient sur le front et toutes ces nouvelles tragiques des guerres partout dans le monde, je pense à tous ces déplacés et réfugiés, qui passent ces festivités de fin d'année loin de leurs maisons. Un seul mot pour vous : gardez espoir, croyez aux bons jours !